Le code chinois permet de communiquer des messages simples à codé, mais pouvant paraître comme étant un vrai casse tête pour celui qui n’en connait pas la clé.
Ce code paraît compliqué, mais tout comme le « code des Samouraïs », il est simple à lire.
Pour comprendre le code chinois, on commence par lire les traits horizontaux. Ceux-ci sont les voyelles. Le [A] est représenté par un trait, le [E] deux traits, le [I] trois, le [O] par quatre traits, le [U] cinq traits et le [Y] conclut avec six traits.
Les traits verticaux représentent les consonnes. Il y a un trait vertical pour chaque consonne dépassant la voyelle indiquée en horizontal. Bien entendu, s’il n’y a pas de trait verticaux, il s’agit d’une voyelle tandis qu’une consonne comprend toujours des traits horizontaux et verticaux.
La lettre [C] par exemple : un trait horizontal pour la lettre [A] + deux traits verticaux pour le déplacement depuis [A].
\ Sépare les mots \\ Sépare les phrases |
a | ![]() |
j | ![]() |
s | ![]() |
b | ![]() |
k | ![]() |
t | ![]() |
c | ![]() |
l | ![]() |
u | ![]() |
d | ![]() |
m | ![]() |
v | ![]() |
e | ![]() |
n | ![]() |
w | ![]() |
f | ![]() |
o | ![]() |
x | ![]() |
g | ![]() |
p | ![]() |
y | ![]() |
h | ![]() |
q | ![]() |
z | ![]() |
i | ![]() |
r | ![]() |
Télécharger la fonte « Chinois » sur votre ordinateur.